






Pour une raison de gain de temps, nous avons divisé le groupe en deux et déposé une voiture à Cacao et une autre à l’intersection de la piste Coralie et du sentier du Molokoï. Nous avons échangé les clés quand nous nous sommes croisés au neuvième kilomètre.
Impossible de se perdre, tellement le sentier est bien balisé (marquage jaune fréquents et bornes kilométriques). Le temps était idéal pour traverser les ruisseaux sans se mouiller les pieds.
Le groupe de Stéphane a pu entendre des aras et des singes hurleurs et de notre côté, Irène a failli mettre le pied sur un grage.
Nous avons passé une agréable journée.
